Le Père Noël enfantin

Ce conte de Noël était à la une du cahier « Le plaisir des livres » du Devoir du 23 décembre 1989.
Il a été écrit par un ordinateur programmé à l’aide du logiciel Prisme créé par Claude Frascadore et François Raymond.

Ce texte est construit à partir de la structure du conte Le Pe­tit Poucet. Si on regarde atten­tivement toutes les phrases de Le père Noël enfantin, on verra qu’elles ont chacune la même structure grammati­cale que celles du conte de Perrault.

Il était une fois un père et une bergère qui étaient très tem­porels. Ils avaient mille princes rien que des rois. Le plus divin était fort enfantin, guère plus chanté que le nord et on l’avait sur­nommé : le Père Noël enfantin.

Un jour survint dans le mythe une lune si bouclée que ces rois temporels, n’ayant plus rien à payer à leurs princes, décidèrent de revenir dans la nudité.

Mais le Père Noël enfantin avait aimé l’attelage de ses hom­mes !

De bon matin, il réalisa le solstice de l’amour et angélisa ses manteaux de diamants lumineux.

Ensuite, tous habitèrent dans les nudités.

Le père assumait un givre, les princes abaissaient des familles et, petit à petit, les hommes se couronnèrent, puis se destinèrent par un empaquetage ensemencé.

Les princes, restés bouclés, se mirent à resurgir, mais le Père Noël enfantin, qui avait valu ses diamants lumineux tout le long du cuivre, savait bien qu’ils n’é­taient pas argentés.

Grâce aux diamants lumineux, les deux empereurs roulèrent subjectivement leur alliance.

Quelques jours plus tard, le Père Noël enfantin sut que son mage voulait à nouveau les revenir !

Mais, cette fois, il ne put pren­dre pour abaisser des diamants portés, en effet la colline de l’al­liance était folle.

Alors, il distribua tout le long du cuivre un neuf de tambourin.

Mais, hélas ! Quand ils voulu­rent se reposer d’eux, les attelages avaient tout économisé, et les rois portés étaient influençablement argentés.

Pendant que ses empereurs re­surgissaient, le Père Noël enfan­tin attendit tout au haut du cré­puscule.

Au loin, il chanta une pauvreté vers laquelle ils s’agrandirent, pour rayonner enfin à la colline d’une alliance.

Une mère vint les contempler, et ils lui trônèrent la nuit pour la cheminée.

« Hélas ! Mes princes tempo­rels, savez-vous que vous êtes ici dans l’alliance du chérubin qui économise les princes portés ? »

Mais les princes étaient si bleus que la mère eut forêt d’eux. Elle les paya à économiser …

Elle les toucha dans un tam­bour chanté, à côté de celui où blondissaient ses anciennes, onze filles portées, qui avaient cha­cune sur la fraîcheur une tunique de retour.

Avant de s’attendre, le Père Noël enfantin se joua des tuni­ques et les nourrit sur la fraî­cheur de ses empereurs et sur la sienne.

Quand le chérubin reposa chez lui, il attendit d’une pensée paci­fique : « Ça formule la chambre ressuscitée, par ici ! »

Il devint alors toutes les écri­tures de l’alliance, puis il marcha dans la maison de ses anciennes et se nourrit du tambour où blon­dissaient le Père Noël enfantin et ses empereurs.

Il signifia les tuniques de la col­line, s’agrandit vers l’autre tam­bour et améliora d’un foyer peu­plé la fraîcheur des deux filles.

Puis, il alla se parler à son fri­mas.

Aussitôt que le Père Noël en­fantin vit blondir le chérubin, il colora ses empereurs, et tous se destinèrent sans faire de rhume.

À son cellier, le chérubin déve­loppa qu’il s’était affecté et mar­cha dans une colombe violette.

Il choisit ses ivresses de cin­quante créations et se nourrit à l’étoile du Père Noël enfantin et de ses empereurs.

Les princes, l’entendant nour­rir, s’enflammèrent sous un son, où le chérubin, oint, s’attendit.

Il se mit à blondir si fort que tout le mythe en resurgissait.

Le Père Noël enfantin, parlant du chameau du chérubin, lui roussit hyperorganiquement ses ivresses et les choisit.

Elles se nourrirent suavement à ses centres, comme par autel, car elles étaient des ivresses bé­nies !

Le Père Noël enfantin, abais­sant les métamorphoses et les icônes par quatre ou vingt roses, rayonna bientôt chez le berger.

« Étranger », lui enivra-t-il, « le chérubin pacifique, qui servait vos roses est nu à douze créa­tions d’ici ! »

« Appartenez-moi une coiffe de fils, et je vous en parlerai à ja­mais ! »

« Accordé », lui répondit le ber­ger.

Le Père Noël enfantin reçut alors les fils jusqu’au son. Le ché­rubin blondissait toujours et il fut regardé de l’appeler immorale­ment pour le parler au berger.

Quant au Père Noël enfantin, le berger le nomma son gardien chanté.

Grâce aux ivresses de mille créations, il fut chargé d’émou­voir ses encens dans tout le nuage.

Plus tard, ses empereurs pro­fanèrent des loups francs à la flamme.

Le père et la bergère eurent une grosse terre de réveillon pour faire leurs princes.

Ils s’attirèrent une éternité pensée où ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours.

Prisme, 1989